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Flux migratoires incontrôlés : En finir avec l'impuissance politique ! (mon livre à retrouver  sur amazaon ici ou sur la fnac ici)

Résumé :

Aujourd'hui, l'impuissance des politiques à répondre efficacement à la question migratoire est indéniable.


Vingt-neuf lois CESEDA (Code de l’Entrée et du Séjour des Étrangers et du Droit d’Asile) ont été votées depuis 1980 en France (la 29ème, celle de Gérald DARMANIN, a été votée début 2024). Soit une moyenne d'une nouvelle loi tous les 18 mois. Une inflation législative qui ne permet toujours pas à l’État de reprendre la main sur les flux migratoires. Bien au contraire !


Malgré ces échecs répétitifs et des chiffres de l'immigration sans cesse en hausse, ce sont toujours les mêmes recettes, censées remédier au problème, qui nous sont proposées par la classe politique.


Dans ce livre, des solutions inédites et concrètes sont apportées à des problématiques liées à la question migratoire considérées jusqu'ici comme des impasses : la bonne exécution des OQTF (Obligation de Quitter le Territoire français), la délivrance de laisser-passer consulaires pour les reconduites à la frontière, les retours volontaires des migrants dans le pays d'origine, l'incitation à la démocratisation des pays autoritaires source principale d’émigration/immigration etc.


L'OMPM (Organisation Mondiale des Politiques Migratoires), l'ARM (Assurance Retour Migrant), les Zones-Tampon (Pour le transfert des migrants en situation irrégulière à l'identité/nationalité inconnue) ou le traitement dématérialisé et à distance des demandes d'asile (sauf urgences) sont autant d'exemples d'outils pratiques et innovants, développés dans cet essai, pour permettre aux États de reprendre la main, d'une façon pérenne, sur des flux migratoires de plus en plus importants et de moins en moins contrôlables.


Seront également abordées dans cette contribution, les causes et les conséquences réelles du phénomène de l’émigration/immigration incontrôlée tant sur les sociétés de départ que celles d’arrivée. Parmi ces conséquences, les milliers de morts et disparus des routes de l'exil (3 231 personnes en 2021 selon l'ONU), des pays de départ de plus en plus vidés de leurs jeunesses, des pays d'arrivée aux capacités d'accueil débordées et aux opinions publiques survoltées.


Personne, ni dans les pays-source d’émigration ni dans les pays-destination, ne peut contester le fait qu'émigrer constitue une démarche forcée, un acte de dernier recours et une décision prise à contrecoeur. Les candidats à l’émigration abandonnant tout : famille, amis, passé etc. pour un hypothétique meilleur avenir.

Personne ne peut contester également que les citoyens des pays d’accueil de migrants, eux aussi, se retrouvent aujourd’hui dans la position inconfortable de spectateurs impuissants de la mutation forcée de leur environnement quotidien immédiat : multiplication de migrants errants, généralisation de la vente de produits de contrebande, développement de quartiers communautaires, augmentation des actes de délinquance etc.


Chaque pays, qu’il soit source ou destination de migrants, subit les conséquences désastreuses d’une migration internationale qui échappe de plus en plus au contrôle des États souverains.


Derrière toutes ces détresses humaines, se cachent, en réalité, des intérêts économiques, des considérations géopolitiques ou des luttes de pouvoir qui entraînent guerres, conflits et… migrations.


C'est à la fois dans sa dimension internationale et avec des réponses concrètes et inédites que la question migratoire, un fondement de l'Histoire humaine, est abordée dans cet essai.


Vous pouvez lire des extraits et/ou télécharger le livre sur amazaon ici ou sur la fnac ici.

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